Jour 14 – Kaupanger et Flam (rattrapage)
Après une bonne journée de repos, nous voilà repartis pour de nouvelles aventures, nous nous rendons à Flam pour la nuit prochaine. Nous quittons ce logement mais vraiment à contre-cœur, il était juste exceptionnel et nous y avons passé un super moment. Nous avons refait le plein d’énergie et nous sommes prêts pour affronter le mauvais temps aussi, qui devrait persister jusqu’à la fin du voyage. Nous tenterons de passer entre les goutes !
En chemin, nous passons par la route des neiges, Aurlandsfjellet, c’est une route de montage qui offre de jolis paysages. Nous avons effectué une première halte à « Flotane » puis au « Stegastein ». La Norvège a mis en valeur des routes touristiques avec des œuvres architecturales, à la fois jolies, intégrées aux paysages et permettant tantôt de préserver un site naturel, tantôt d’apporter du service (toilettes publiques en bord de route par exemple).
La route des neiges
Le Stegastein
Précisons que la route avait une alternative que nous n’avons pas choisie. Elle a été remplacée depuis 2000 par le tunnel routier le plus long du monde, il fait 24,5 km et s’appelle le Lærdalstunnelen. C’est surement très joli mais nous avons choisi la version aérienne ! Et puis vous n’imaginez pas le nombre de tunnels que nous avons emprunté, le plus long que nous avons suivi faisait 11 km tout de même ! Leur pouvoir d’endormissement est assez exceptionnel.
Nous arrivons en fin de journée à Flam, dans une cabane au sein d’un camping. Le logement est objectivement impeccable, mais bien moins équipé, bien moins agréable que le précédent. Pour tout dire à prix équivalent, nous passons réellement du meilleur au moins bon logement. Malgré cela, nous y passerons une très bonne soirée, se retrouvant autour d’un petit jeu de carte.
Avant de vous quitter, petit « big up » comme on dit, aux bretons, présents même au fin fond de la Norvège. Cela dit c’est un big up négatif, car si on ne peut nier leur volonté de s’affirmer partout autour du monde et même être un brin admiratif de cette présence internationale, là en l’occurrence, cela détériore le site, c’est dommage.
A bientôt !